INK & GIK

2 Concerts
pour la fête de la musique

Vendredi 18 juin 2010
entrée gratuite

INK. est un duo formé en 1998 par Drita Kotaji au chant et Stephan Barbery à la guitare, et qui se transforme en trio ou plus, pour des concerts ou des enregistrements. Issue de l’improvisation, la musique de INK. s’élabore sur des répétitions mouvantes et des climats évolutifs, et se fixe sur des ambiances, évocatrices des thèmes des chansons : la réalité passée aux filtres des sentiments, les rêves, la nature. Pour ce concert, INK. jouera en version duo, voix et guitare.
http://www.myspace.com/ineverknowrecords


GUYS IN THE KITCHEN : parce qu’il y a généralement un type dans la cuisine qui fait les pâtes pendant que Carmen Blanco Principal (guitare) qui revient des répétitions de son spectacle,
Nathalie Boulanger (chant-guitare) qui fait un break entre deux chorégraphies et trois massages,
Caroline Cereghetti (batterie) qui a lâché ses pinceaux et sa toile, Sylviane Evrard (basse) qui a arrêté de se casser la tête avec ses budgets et ses comptes et Veronika Mabardi (écriture des textes) qui a fait une pause dans l’écriture de son roman, sont dans la cave avec quelques cannettes, des cigarettes, et des « Mon Chéri » et font un genre de bruit sur maximum cinq accords… ça repart en boucle… ça change tout le temps avec parfois deux ou trois mômes qui trainent à l'étage au-dessus
Puis ça s'arrête quand les voisins n'en peuvent plus.
http://www.myspace.com/guysinthekitchen

photos (c) Fabienne Cresens

DALLAS

Un solo de Angèle Micaux

samedi 12 juin et
dimanche 13 juin 2010




Du 10 au 14 juin 2010, 10/12 accueillera en résidence Angèle Micaux, comédienne, danseuse et performeuse parisienne, pour un travail en duo avec Denis Robert, danseur et performeur.

A cette occasion, Angèle Micaux présentera son solo « Dallas », une adaptation performative du célèbre feuilleton américain des années 80.

Après avoir enregistré une dizaine de personnes interrogées sur la série Dallas, elle s’est constitué une bande son qui lui sert de partition. Tantôt elle l'illustre et devient l’instrument d’un récit qu’elle habille et accessoirise pour évoquer un univers de fortune, établi dans l’urgence. Tantôt elle progresse de manière décalée par rapport à ses "partenaires" sonores. Elle défait et refait les membres de la famille Ewing dans leur ranch et redonne vie au personnage de Sue Ellen.


Jouant sur l’irrégularité des souvenirs, les incohérences, les fantasmes et les élucubrations dues à l’imaginaire des personnes interrogées, elle fait une adaptation détournée et ludique des études des sociologues américains sur l’implication du spectateur dans ce type de mélodrame.

photos (c) Luis Alvarez